Bien que la construction de sources publiques assume son développement au XVIIe siècle sous le règne de Charles III, les sources d’approvisionnement en eau de la ville de Léon et peuvent être situées à l’époque romaine. La découverte archéologique d’un aqueduc, œuvre du campement de la Legio VII Gemina, situé à plusieurs kilomètres au nord-ouest de l’installation, dénotait l’intention des Romains sur l’approvisionnement en eau.

Bien que la construction de sources publiques assume son développement au XVIIe siècle sous le règne de Charles III, les sources d’approvisionnement en eau de la ville de Léon et peuvent être situées à l’époque romaine. La découverte archéologique d’un aqueduc, œuvre du campement de la Legio VII Gemina, situé à plusieurs kilomètres au nord-ouest de l’installation, dénotait l’intention des Romains sur l’approvisionnement en eau.

Ce n’est pas le Moyen Age l’époque de la construction de ce type, car nous avons peu de données sur l’existence d’une fontaine sur la Place de la Cathédrale. Toutefois, l’approvisionnement se produisait par l’extraction d’eau potable provenant de puits artésiens et l’utilisation de divers barrages mis en place par la ville de Léon. Déjà au XVIIIe siècle, la politique de la ville de Charles III, conçue à la fois pour la capitale espagnole que pour les Deux-Siciles, se fit ressentir dans d’autres villes espagnoles. L’intention du monarque d’aménagement des espaces verts et d’embellir les espaces publics avec des fontaines se refléta dans la ville de Léon avec quelques performances qui allèrent au-delà de l’arrogance urbaine, car des questions de santé publique sur la consommation d’une eau saine furent prioritaires. La Junta de Fuentes, depuis 1773, avait déjà réclamé le commencement d’un plan d’approvisionnement en eau des fontaines et des places de la ville de Léon. En 1789 figurèrent la construction de la fontaine de Neptune, celle de San Isidoro et celle de la Porte du Château.

Du point de vue ornemental, l’utilisation de sources publiques fut un thème récurrent, puisque pendant le XXe siècle, on trouva plusieurs constructions comme la source de Saint-Domingue, celle du Quartier de Santa Ana ou celle de Guzman.

Source de la Porte du Château:

Aussi appelée l’Arche Principale, fut construite en 1785. Elle était adossée à un réservoir d’eau et surmontée d’une plaque de pierre dont l’inscription fait référence à l’eau comme un élément de la santé publique. Elle disparaît dans les années 70 avec l’ouverture du passage pour piétons. Actuellement et un peu plus loin de la sa place d’origine, un petit tuyau alimente en eau de nombreux habitants de Léon. Le Jet Badillo: Situé près de l’unique entrée restante de l’époque presque médiévale-bien qu’elle date du début du XVIIIe siècle-. D’allure humble, il est dépourvu d’ornementation et d’une unique sortie d’eau. Il est situé dans la partie orientale de la paroi. Sa construction date de 1788.

Caño Badillo

Situé près de l’entrée ne reste à la quasi-médiévale même est l’œuvre du début du XVIIIe siècle. Apparaît à air humble, manque ornamentacióny avec une sortie d’eau simple. Il est situé dans la partie orientale de la paroi. La construction des données en 1788.

La Source du Marché:

Située dans le centre de la Place pavée de Santa María du Chemin, également appelée Place du Grain. Elle fut témoin, pendant des siècles, du marché au pain et céréales. Plus récemment, elle observe l’arrivée des pèlerins à l’Auberge du Couvent de la Carbajal lors de leur passage vers le Chemin de Saint-Jacques de Compostelle. La fontaine fut achevée en 1789 et met en évidence deux enfants accrochés à une colonne qui est l’allégorie la ville de Léon (représentée par la colonne) qui se trouve entre les rivières Bernesga et de Torio (symbolisé par les enfants). La sculpture est la création artistique de Felix Cusac et la source est l’œuvre d’Isidro Cruela.

La Fontaine de San Martín:

La fontaine que nous pouvons maintenant voir fut renouvelée en 1781 sous le règne de Charles IV, tel que le confirme son inscription. Le projet de construction est de l’architecte de Léon José Fernando Sánchez Pertejo. Elle relie à l’environnement du Quartier Humide avec l’église de San Martin et la Plaza Mayor dont la construction prit fin en 1674. La Fontaine de San Marcelo: Elle est située dans le jardin près de l’église du même nom. Cette œuvre d’Isidro Cruela s’acheva en 1786. Sur le verre se dresse un corps cylindrique orné de trois pilastres ioniques soutenant une corniche couronnée d’un vase. La décoration est complétée par le bouclier de la ville.

La Fontaine de San Marcelo:

Il est situé dans le jardin près de l’église du même nom. Cruella Isidro travaux ont été achevés en 1786. Sur le navire a un corps cylindrique orné de pilastres ioniques trois soutenant une corniche couronnée d’un vase. La décoration est complétée par le bouclier de la ville.

La Fontaine de San Isidoro:

Située sur le côté gauche de la place face à la Basilique. Elle fut érigée en 1787 comme œuvre d’Isidro Cruela. Comme élément sculptural le plus représentatif, un lion tient une affiche qui fait référence à un enregistrement de la Legio VII. La sculpture originale fut créée par Mariano Salvatierra bien que celle que nous contemplons est une reproduction d’Andres Seoane.

La Fontaine de Neptune:

La fontaine de Neptune paraît en 1789 sur la Place de la Cathédrale comme premier emplacement. Le projet de construction provient de l’architecte Isidro Cruela et sa réalisation est effectuée par Félix Cusac et José Velasco. C’est probablement la source historique la plus monumentale de la ville. Elle représente le Dieu Neptune. Le thème mythologique fut largement utilisé à l’époque de Carlos III, un exemple est la Cibeles dans la capitale de l’Espagne. En 1913, est finalement approuvé le démantèlement de la source qui, soi-disant, empêchait de contempler la beauté de la cathédrale.

En 1931, Elle s’installe sur la Plaza Mayor, où elle resta jusqu’en 1943. Enfin, elle fut montée dans le jardin de San Francisco qu’actuellement vous pouvez visiter.